Lors de la campagne interne mouvementée, et à cause du soutien affiché de RIVAROL et de Minute pour Bruno Gollnisch, ces deux journaux n'avaient pas été accrédités pour assister au congrès de Tours. Basse vengeance de Fifille.
RIVAROL était en plus gratifié d'un sympathique message lors d'une interview de MLP à la radio: "Ce journal est à l'image de son directeur, un torchon d'une virulence etc."
Aujourd'hui, c'est Minute qui n'a pas l'heur de plaire à l'héritière, et qui devient le "torchon" du moment dans la bouche de Marine Le Pen.
C'est un peu malheureux, pour une personnalité politique, de ne pas accepter les critiques. Les réactions furieuses de MLP à la moindre contrariété sont lassantes. On aimerait qu'elle change de disque, ou renouvelle au moins son vocabulaire. Dans le dictionnaire des synonymes, elle trouverait sûrement l'équivalent de "torchon", ce qui pourrait toujours servir, contre les journaux de droite bien sûr, pas de gauche.