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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 17:38

 

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Cette semaine, à lire sans doute en priorité à la sortie du kiosque (après l'édito et un extrait des pages internationales déjà disponibles sur le blog), la chronique d'Hannibal consacrée à l'exposition de Degas, ou plutôt à la critique du peintre faite par une féministe juive. Un très court extrait qui donne une idée du propos de notre Hannibal :

 

"Comment un artiste d’avant-garde put-il être réactionnaire, comment une perception si fine pouvait- elle habiter un monstrueux antisémite ? Tel est la question obligée de la critique contemporaine."

 

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15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 17:32

 

Dans le RIVAROL n°3038 du 16 mars 2012, p. 4.


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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 17:55

 

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L'euthanasie bientôt légalisée ?


 

Tout laisse à penser que l’euthanasie active sera légalisée dans notre pays très prochainement, sans doute dès cette année si la gauche l’emporte. Cette proposition est en effet au programme de François Hollande qui s’est par ailleurs officiellement engagé le 8 mars à ce que chaque établissement hospitalier ait un centre d’IVG et que l’avortement soit remboursé à 100% par la Sécurité sociale. Il faut dire que les sectateurs de la culture de mort mettent en ce moment les bouchées doubles: depuis le 7 mars l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), composée pour l’essentiel de francs-maçons, a lancé une grande campagne publicitaire, commencée dans l’hebdomadaire Les Inrockuptibles et reposant sur des photomontages où François Bayrou, Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen, trois candidats (verbalement) opposés pour l’heure à l’évolution de la législation sur l’euthanasie, attendent la mort sur un lit d’hôpital. Une image choc à laquelle s’ajoute une interpellation: «M. le candidat, doit-on vous mettre dans une telle position pour faire évoluer la vôtre sur l’euthanasie?» «On a interrogé tous les candidats à la présidentielle. On laisse tranquille ceux qui ont répondu favorablement et on interpelle ceux qui sont le plus farouchement opposés» à l’euthanasie, a déclaré à l’AFP le directeur général de l'ADMD, Philippe Lohéac. L’ADMD avait diffusé fin février un texte, signé par une cinquantaine de personnalités, pour demander un engagement formel des candidats en faveur de la légalisation de l’euthanasie active et organisera le 24 mars un rassemblement et une réunion à Paris autour de ce même thème.

 

De plus l’on nous rebat les oreilles avec une batterie de sondages indiquant que l’immense majorité de nos compatriotes seraient favorables à la dépénalisation de l’interruption volontaire de vieillesse. La légalisation de l’euthanasie active serait ainsi approuvée par 91% des Français, selon un sondage Harris Interactive pour le magazine Grazia publié le 12 mars. L’ADMP évoque une enquête d’opinion selon laquelle 94% des personnes interrogées seraient favorables à l’évolution de la législation sur le sujet, ce qui est plausible et témoigne de la profonde déchristianisation et, disons-le, de la totale déshumanisation de notre société. De même que la légalisation de la pilule (en décembre 1967) a ouvert la voie à la dépénalisation de l’avortement (en janvier 1975) car l’IVG est inséparable d’une mentalité contraceptive, de même que l’institution du Pacte civil de solidarité (1999) ouvre d’évidence le chemin au mariage homosexuel et à l’adoption par les invertis, la loi Leonetti constitue le premier pas vers l’euthanasie active car elle permet depuis 2005 l’euthanasie dite “passive” de malades incurables, c’est-à-dire l’arrêt des traitements et l’administration d’antalgiques à des doses susceptibles d’être mortelles. Tout geste qui provoquerait directement la mort reste en revanche un crime passible des assises mais c’est un secret de polichinelle que dans les hôpitaux l’on donne couramment la mort sans le dire. Dans son livre Les 7 sujets dont les candidats à la présidentielle ne parlent pas (France-Empire), Jean-Claude Martinez regarde en face cette terrible réalité: «Les chiffres sont là, qui valent bien ceux du déficit budgétaire et de l’endettement public : quinze mille euthanasies actives chaque année, cent vingt-cinq mille passives, cent cinquante mille malades qui font l’objet d’un surdosage volontaire de neuroleptiques et d’antalgiques à effet progressivement éliminatoire et vingt-cinq mille bavures hospitalières. Il y aussi les témoignages; par exemple celui du chef de service de gériatrie d’un hôpital de Marseille. Pour libérer les lits, en fin de semaine “on tue les vieux” (cf. le livre du professeur Jacques Soubeyran, On tue les vieux, Fayard, 2006). On a même vu en octobre 2011, dans un hôpital de Nîmes, une grand-mère de quatre-vingt-quatorze ans battue à mort, massacrée à coup de poing dans sa chambre. Sans que l’hôpital, après lessivage du sang sur les murs (cf. Midi libre du samedi 1er octobre 2011), daigne avertir la police, comme dans un Rwanda gériatrique des mille collines hospitalières et des maisons de retraite.»

 

Au-delà d’obsessions idéologiques, le débat sur la légalisation de l’euthanasie s’explique par de basses raisons économiques. Du fait de l’allongement de la durée de la vie, la question du financement des retraites devient chaque jour davantage un problème aigu. Comme l’on ne peut fortement augmenter les cotisations, les prélèvements obligatoires étant déjà à la limite du supportable, ni réduire les pensions souvent déjà très modestes pour des millions de personnes âgées qui de surcroît votent, la solution est de réduire le nombre des retraités. Dès 1981 Jacques Attali, dans son livre L’Avenir de la vie (Seghers), avait théorisé l’euthanasie comme l’«un des instruments essentiels de nos sociétés futures», avec l’institution de «machines à tuer qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera économiquement trop coûteuse». Il faut toujours lire avec attention les penseurs israélites. Cela donne une idée de ce qui nous attend quelques décennies plus tard…

 

[...] Pour lire la suite, achetez le numéro dans la boutique en ligne de RIVAROL ou ABONNEZ-VOUS !

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 17:54

 

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Par Léon Camus

 

Le 8 mars nous avons senti passer de très près le vent du boulet. L’offensive sur l’Iran était à l’ordre du jour et il s’en est fallu d’un cheveu… mais l’opposition des militaires, tant à Tel-Aviv qu’à Washington, a eu raison de la virulence des “politiques”, néoconservateurs et autres Likoudniki, Netanyahou et Obama en tête. N’aiment et ne désirent vraiment la guerre que ceux qui ne la connaissent pas et ne la pratiquent que depuis leur bureaux ou sur le papier, en écrivant l’histoire avec leur plume trempée dans le sang des autres. 

 

Ne pouvant frapper l’Iran, Tsahal s’est mis par dépit à matraquer la bande de Gaza, une vengeance à sa mesure. Gaza d’où sont partis d’opportuns tirs de roquettes artisanales al Quod(1), improprement nommées “missiles” par une presse perpétuellement atteinte d’un fort strabisme divergent. Les morts gazaouis— vingt-cinq au 12 mars— ne valent en effet pas de commentaires. Autant la presse occidentale se complaît à donner un bilan quotidien des victimes syriennes, autant elle ne voit pas les cadavres qui «sortent du cadre»… les victimes collatérales d’une guerre dont pourtant elle— la presse officieuse et zélée— s’est fait le vecteur, ne distinguant pas les civils des militaires, les rebelles salafistes des morts collatérales d’innocents, les mercenaires des loyalistes… bref prodiguant larmoiements et compassion à l’égard de ceux qui cherchent à jeter leur propre pays dans le brasier de la guerre civile! Une guerre intercommunautaire, mais au nom de quoi et pour quoi? De la démocratie soi-disant! En vérité par haine confessionnelle (sunnite contre Alaouite chiite) et par soif de vengeance (venger l’écrasement en février 1982 des radicaux musulmans à Hama par Hafez el Assad après la tentative d’assassinat du Raïs par les Frères musulmans?), par appétit phylogénétique d’épuration ethnique?

 

Une presse qui dans ce cas se présente comme l’ardent défenseur de la Liberté et de la Démocratie mais en réalité agit comme un poste de tir avancé pour l’artillerie lourde de la guerre des mots et des images. La guerre majeure du XXIe siècle, celle par laquelle les peuples finissent par ignorer qui les dirige, par croire qu’ils sont en paix alors que leur propre pays est en guerre permanente, qui réécrit l’Histoire au seul bénéfice des vainqueurs pour mieux harasser les vaincus et rendre dociles les prétendus vainqueurs qui n’ont fait que tirer les marrons du feu au profit de minorités dominantes.

 

Reste qu’en Syrie le rouleau compresseur occidentaliste ne semble plus ni devoir, ni pouvoir faire machine arrière. Seul obstacle, l’intransigeance du Kremlin qui a bien compris qu’après Assad, Vladimir Poutine arrive en second sur la liste des coups d’État et des “renversements” à venir… ceux qui ne disent pas leur nom et se cachent derrière une chimérique volonté populaire, pur produit de ce qu’autrefois les révolutionnaires marxistes nommaient “agit-prop”. Agitation et propagande démesurément amplifiées par les porte-voix électroniques des «réseaux sociaux». La foule n’est jamais si bien tenue que quand elle se croit libre!

 

À Moscou les oppositions fourbissent leurs armes, soutenues en sous-mains et encouragées par la voix de l’Occident désintéressé et des globalistes truqueurs des bilans grecs. Gouvernements aux ordres, technostructures et médiacrates, tous appliqués à remplir le cahier des charges que leur ont remis les cryptarchies— autant dire les mafias tribales— qui, de Londres à Shanghaï, de New-York à Francfort via Tokyo et Paris, s’entendent désormais à mettre la planète en coupe réglée… et les peuples au pas !

 

L’IRAN NE PERD RIEN POUR ATTENDRE

 

Ainsi donc, pour des raisons certainement assez éloignées de la pure philanthropie, les classes dirigeantes américaines et israéliennes se montrent aujourd’hui très divisées quant à l’opportunité d’une offensive aérienne sur les sites nucléaires iraniens et au-delà sur l’hypothèse d’un renversement du régime par la force, au moins dans l’immédiat.

 

Le 8 mars, le président de la Commission de la Défense et des Affaires étrangères de la Knesset, le lieutenant-général Shaul Mofaz, ancien chef d’état-major et ministre de la Défense de l’Etat hébreu, réagissait sur Radio Israël au discours de Benjamin Netanyahou à Washington le 5 mars (par conséquent la veille de sa rencontre «au sommet» avec le président américain) devant les milliers de sionistes fanatiques de l’AIPAC, en dénonçant le caractère fallacieux de la présentation faisant de l’Iran et de son programme nucléaire, une menace imminente pour Israël.

 

Le même jour, faisant écho à leur collègue israélien, douze hauts gradés américains du cadre de réserve de l’armée et du renseignement montaient au créneau par le truchement d’un «encart publicitaire» d’une pleine page dans le Washington Post, jugeant à l’identique que l’«action militaire contre la République islamique d’Iran à l’heure actuelle n’est non seulement pas nécessaire et qu’elle-même serait dangereuse, tant pour les États-Unis que pour Israël… Nous vous demandons [à Obama] de résister à toute pression en faveur d’une guerre préventive contre l’Iran», concluant en ces termes: «l’armée des États-Unis est la plus formidable force existant en ce monde, il n’en reste pas moins que tous les défis n’ont pas toujours une solution militaire»!

 

Parmi les signataires du libelle notons le Général Martin Dempsey, chef d’état-major des armées des États-Unis depuis octobre 2011 et l’ancien Secrétaire à la Défense Robert Gates ainsi que Paul Pillar, ancien chef d’antenne de la CIA au Proche-Orient qui, de son côté, n’hésite pas à enfoncer le clou, toujours le même jour, dans le Washington Monthly, insistant sur le fait que «personne ne peut connaître toutes les conséquences d’une guerre avec l’Iran, et en ceci réside la principale question préalable à toutes propositions de recours à la force contre le programme nucléaire iranien. Il est cependant assuré que les conséquences négatives au regard des intérêts américains seront très probablement sévères». 

 

D’un point de vue partagé par Pillar et Dempsey, la classe politique et les militaires iraniens sont et restent jusqu’à preuve du contraire des acteurs rationnels dont le propos ultime est assurément de sanctuariser leur territoire— en d’autres termes, mûs par une logique purement défensive et dissuasive— et non de porter la guerre à l’extérieur alors que le rapport de forces joue absolument en leur défaveur… «Un Iran doté d’une arme nucléaire serait loin d’être aussi dangereux que l’on veut bien le croire ou le faire croire», soulignant en outre que l’absence de «menace existentielle iranienne» pour Israël est communément admise par la plupart des dirigeants politiques et militaires de l’État hébreu hormis une poignée d’excités, tout comme aux États-Unis où une «telle menace est brandie de façon hystérique par une faction comprenant aussi bien des néoconservateurs que des Démocrates, y compris le Président Obama». 

 

Dans un second article publié le lendemain (le lundi 6 mars, jour de l’entretien décisif Netanyahou-Obama), dans The National Interest, Pillar remarque à ce propos que «les remarques du président [Obama] sur la manière dont aucun gouvernement israélien ne peut tolérer l’arme nucléaire dans les mains de l’Iran, ainsi que sa référence au droit souverain d’Israël à décider de sa seule autorité ce dont il est besoin pour remplir ses besoins en matière de sécurité, sonnent presque comme une invitation [implicite] à Netanyahou pour qu’il lance une attaque». Insistant lourdement sur l’aspect contreproductif d’une action à contretemps: «Il n’est pas prudent à ce moment précis de décider d’une attaque sur l’Iran[…] Je pense qu’il serait prématuré de décider de manière unilatérale que le temps est venu de recourir à l’option militaire[…] Des frappes à l’heure actuelle auraient un effet déstabilisateur et ne permettraient pas [à Israël] d’atteindre ses objectifs à long terme». […]

 

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 15:43

 

 

Lu dans Le Point.fr (merci à Solange) :

 

 

Il fallait donc que le 500e "parrain" de Marine Le Pen soit un Français d'Israël. [...] 

Fondateur d'une antenne UMP à Jérusalem

À l'UMP, le nom de Sylvain Semhoun n'est pas étranger. Jusqu'à récemment, il était délégué du parti présidentiel en Israël. Mieux que ça, il fut, dans les années 1990, le fondateur d'une antenne du RPR à Jérusalem, puis de l'UMP. En 2007, il mena activement campagne en faveur de Nicolas Sarkozy. Depuis, confie-t-il, "c'est la déception. Le président n'a pas tenu toutes ses promesses. Le ministère des Affaires étrangères n'a pas du tout rééquilibré sa position s'agissant du conflit (israélo-arabe, NDLR). Le président se dit à l'écoute du peuple ? Les Franco-Israéliens attendaient beaucoup plus de lui." 

Son ressentiment à l'égard de l'UMP est tel qu'il n'exclut pas de voter Marine Le Pen à la présidentielle : "J'attends de voir l'intégralité de ses propositions." Il dénonce les "préjugés" dont est "victime" la candidate du FN, qui jouirait, selon lui, d'une popularité grandissante en Israël.

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 11:34

 

En immersion pendant plusieurs mois au sein de la section de recherche de la gendarmerie de Strasbourg, les journalistes de l'émission 90 minutes ont présenté hier soir sur TMC leur reportage sur le démantèlement de deux réseaux d'escrocs. 

 

Mais que fait la LICRA ? se demandait le téléspectateur outré en regardant ce reportage raciste.

 

Pourquoi raciste ? Eh bien tout simplement parce que le premier réseau d'escrocs était constitué de Croates vivant dans des caravanes et s'exprimant dans un français approximatif. Quant au second, il était constitué d'Ivoiriens.

 

Tous les clichés de l'extrême-droite xénophobe étaient présents. Ainsi, l'une des têtes du réseau croate, non contente de cambrioler et d'entraîner ses propres enfants à faire de même (était-ce la même qui avait envisager de vendre sa fille 120 000 euros, la mémoire me fait défaut...), possédait dans un coffre plusieurs montres et des bijoux de grand prix ainsi que... un papier attestant de l'ouverture de ses droits au RSA ! Il fait bon vivre en France ! Le réseau a organisé des centaines de cambriolages pour un butin qui se compte en millions d'euros. L'implication de leurs enfants fait qu'ils risquent 15 à 20 ans de prison. C'est un beau coup de filet, mais combien de gangs continuent-ils de sévir?

 

Autre cliché raciste : le second réseau était constitué d'Ivoiriens. L'un d'eux est cueilli à l'hôpital où il se fait soigner pour la tuberculose. A ses frais? L'histoire ne le dit pas, mais comment empêcher le raciste d'avoir sa petite idée sur la question? "L'arnaque à l'ivoirienne" a fait un mort : un homme, désespéré, qui s'est suicidé.

 

Devant une telle émission, qui ne peut qu'attiser la colère du "Français de souche", une seule solution : voter Hollande ! Oui à la régularisation massive de ces pauvres hères qui ont tout de même le droit de nous arnaquer, de nous spolier, tout en touchant aides et allocations diverses, au nom de la dignité humaine ! Et oui à la disparition du mot "race" de la constitution pour que ces escrocs probablement maltraités par la vie ne puissent pas être désignés comme Roms ou comme Noirs ! Ce sont avant tout des êtres humains, citoyens du monde !

 

Et non à ces reportages racistes, qui stigmatisent des populations ! Nous voulons des fictions avec des gentils immigrés et des méchants Blancs !

 

Signé : Le Mougeon.

 

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 11:41

 

http://s2.lemde.fr/image/2011/03/06/540x270/1489157_3_0fb0_marine-le-pen-a-lille-le-5-mars-2011.jpg

 

Après des mois de pleurnicherie, un grand ouf de soulagement pour le clan Le Pen qui va récupérer ses fameux 4 millions... si la présidente du FuN ne fait pas un score trop lamentable à la présidentielle.

 

Lu dans Libération :

 

La candidate du Front national à la présidentielle, Marine Le Pen, dispose des 500 signatures d’élus nécessaires pour concourir à l’Elysée et fera une annonce officielle de candidature ce mardi après-midi à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), ont indiqué mardi des sources au FN.

«Je viens de l’avoir au téléphone. Elle me l’a confirmé», a également déclaré le président du comité de soutien de Marine Le Pen, l’avocat Gilbert Collard, dans l’émission les 4 Vérités (France 2). «Marine (Le Pen) entre maintenant dans la campagne […]. A partir de maintenant, elle est libérée de cette angoisse, de ce poids financier, elle va pouvoir dire à ses électeurs "je suis là"», a-t-il assuré.

Marine Le Pen avait déclaré à plusieurs reprises qu’elle n’était pas sûre d’obtenir ces 500 parrainages et avait accusé les «grands partis» UMP et PS de pressions pour qu’elle échoue. «Il me manque encore une quinzaine de signatures», avait-elle dit dimanche. «Rien ne me permet aujourd’hui d’être rassurée

 

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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 15:45

 

http://1.bp.blogspot.com/_F_t_f9X3tjc/TUp3svHZI8I/AAAAAAAAAEw/YQdHoOdfE9I/s1600/610x.jpg

 

Lu dans Le Nouvel Observateur :

 

Une vive controverse a éclaté au sein du Conseil représentatif des institutions juives de France, son président d'honneur Théo Klein se déclarant "effaré" de l'utilisation faite de la newsletter du Crif par le président Richard Prasquier pour "poursuivre Charles Enderlin" de sa "vindicte".

Au coeur de la polémique se trouve un reportage de Charles Enderlin, correspondant permanent de France 2 en Israël, et de son caméraman palestinien, Talal Abu Ramah, sur la mort d'un enfant palestinien à Gaza, le 30 septembre 2000, dans les premiers jours de la deuxième Intifada.

Philippe Karsenty (juif, NDLR), directeur d'une agence de notation des médias, avait été condamné pour diffamation en première instance, en 2006, pour avoir accusé France 2 d'avoir diffusé un "faux reportage, une pure fiction" comportant "une série de scènes jouées".

Il avait été relaxé en appel, en 2008. France 2 et M. Enderlin s'étaient pourvus devant la Cour de cassation, qui vient d'annuler cette relaxe. M. Karsenty devra être à nouveau jugé par la cour d'appel de Paris.

Dans une lettre adressée à Richard Prasquier, président du Crif, publiée par Le Point et obtenue par l'AFP, Théo Klein, président d'honneur du Crif, se dit "plus qu'étonné, plus qu'effaré, véritablement indigné de l'utilisation (que vous faites) de la newsletter du Crif pour y poursuivre de votre vindicte Charles Enderlin".

"Je suis choqué, écrit-il dans sa lettre datée du 8 mars, que la newsletter du Crif serve à répandre des propos qui ont été qualifiés de +diffamatoires+ à plusieurs reprises par les tribunaux français".

"Vous cherchez à changer la face des choses, poursuit-il, la vérité d'un événement totalement regrettable mais dont il est impossible de nier qu'il a eu lieu".

Interrogé lundi par l'AFP, Richard Prasquier déclare qu'"en 2008, après l'arrêt de la cour d'appel de Paris, j'ai proposé à Théo Klein de regarder les documents qui étaient à la base de nos très graves questionnements, vis-à-vis de la véracité même des images projetées par France 2."

"Théo Klein, dit-il, avait refusé en disant d'une part qu'il avait des difficultés de vision et d'autre part qu'il n'avait pas besoin de voir ces documents car il avait confiance en Charles Enderlin".

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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 15:39

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Lu dans Le Monde

 

Lors de son premier tour vendredi au tournoi d'Indian Wells contre le Letton Ernests GulbisMichaël Llodra a montré plusieurs fois des signes d'énervement jusqu'àprononcer les mots "Fucking Chinese" à l'endroit d'un petit groupe de supporteurs asiatiques de Gulbis. Les propos du Français ont vite été répercutés sur Twitterpar un journaliste assis au bord du court et ont fini par être entendu par l'ATP. La sanction ne s'est pas faite attendre et l'instance du tennis masculin a infligé dimanche une amende de 2500 dollars (1909 euros) à Llodra, pour "abus verbal" et"obscénité audible" lors d'un match du tournoi d'Indian Wells.

"L'Open BNP Paribas (nom officiel du tournoi) a appris que Michaël Llodra avait prononcé des propos déplacés à l'attention d'un ou de plusieurs supporteurs assistant à son match de simple vendredi. Il s'en est également pris verbalement à des ramasseurs de balle et à leur responsable. Son comportement est en infraction avec les règles du circuit mondial ATP. Il a été mis à l'amende et le tournoi a demandé à ce qu'il s'excuse auprès des parties concernées", ont indiqué les organisateurs dimanche dans un communiqué. Llodra, 41e joueur mondial et tenant dutitreen double du tournoi de Pékin avec le SerbeNenad Zimonjic, a présenté ses excuses auprès d'un journaliste chinois présent à Indian Wells, qui l'interrogeait sur le sujet. Le Français s'est défendu en expliquant qu'il a "dit ça dans le feu de l'action".

Ce n'est pas la première fois que le Français est épinglé pour ce genre de comportement. En mai à Roland-Garros, Llodra s'était plaint des déplacements intempestifs d'une hôtesse en tribune lors d'un match face au BelgeSteve Darciset avait dit à l'arbitre marocain Mohammed El Jennati:"On n'est pas au souk ici, on ne vend pas des tapis sur un marché". Le Français avait démenti toute intention raciste."Mohammed est un copain, on rigole ensemble. J'ai l'habitude de lui sortirça depuis que j'ai fait un tournoi à Casablanca où c'était vraiment le "bordel"!, avait-il expliqué. Je voulais juste lui dire qu'il n'avait pas fait son job en n'intervenant pas (pour régler cette situation)".

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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 15:27

http://www.letelegramme.com/ar/imgproxy.php/PhotoIntuitions/2011/10/19/1470701_millionnaire.jpg?article=20111019-1001470701&aaaammjj=20111019

 

Dépêche AFP lue sur La Flamme :

 

Si elle ne parvient pas à réunir les 500 parrainages d’élus, la candidate du FN ne pourra se faire rembourser les quatre millions d’euros déjà engagés dans sa campagne. 

   Une élimination de sa fille, faute des 500 signatures, inquiète aussi Jean-Marie Le Pen, pour des raisons financières : « La loi rembourse les candidats du premier tour à hauteur de 8 millions d’euros si l’on dépasse les 5 %. Nous avons déjà dépensé 4 millions, il nous faut participer au scrutin. » 

 

Et aussi sur La Flamme : http://la-flamme.fr/2012/03/au-fn-liberte-oui-mais-tres-surveille/

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